tétrasyllabe, vers de 4 syllabes

Tétrasyllabe ou quadrisyllabe

Vers de 4 syllabes

tétrasyllabe vers de 4 syllabes

« Regard intense »: tétrasyllabe, vers de 4 syllabes

 Le tétrasyllabe ou quadrisyllabe est parmi les vers les moins utilisés en langue française, mais ceci n’empêche que bien utiliser il peut être très beau.

 

Tétrasyllabe, vers de 4 syllabes

Tétrasyllabe : définition

 

Le tétrasyllabe ou quadrisyllabe est un vers de quatre syllabes.

Il ne faut pas confondre le tétrasyllabe ou quadrisyllabe avec le tétramètre qui est une mesure interne à l’alexandrin.

 

Tétrasyllabe, vers de 4 syllabes

Tétrasyllabe : Exemple

 

Belle-Ile-en-Mer

Marie-Galante

Ou Saint-Vincent

Loin Singapour

Seymour Ceylan

C’est l’océan

Qui vous sépare

….

Chanson, « Belle-Ile-en-Mer Marie Galante » de Laurent Voulzy

Tétrasyllabe, vers de 4 syllabes

Tétrasyllabe dans ma poésie

 

Ô Mélissa

Ma Mélissa

….

Poème, « Tu es un rayon de soleil » de Max Antoine Brun tiré du recueil « Mélissa« 

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Le plus beau tétrasyllabe

le poète et sa muse | vers tétrasyllabe

 Tétrasyllabe, vers de 4 syllabes

Liste d’auteurs ayant pratiqué le pentasyllabe

 

  • Max Antoine Brun ;
  • Laurent Voulzy ;
  • Léon Gontran Damas.

    Tétrasyllabe, vers 4 syllabes

    Découvre d’autres types de vers

    Tétrasyllabe, vers de 4 syllabes

    Monosyllabe

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    Le monosyllabe est un vers peu usité en poésie française. Il s’agit d’un vers qui ne fait qu’une syllabe.

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    Vers léonin

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    Peu connu et peu utilisé de par la complexité qu’il impose. Il est parmi les plus beau à entendre et lire. 

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    Trissyllabe

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    Peu utilisé, il est pourtant indispensable à certain type de poème ; dont le poème en avalanche ou poème boule de neige. 

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    Dissyllabe

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    Le dissyllabe est un vers de 2 syllabes. Il est peu utilisé, il est pourtant indispensable à certain type de poème.

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    Pentasyllabe

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    Le pentasyllabe aussi appelé pentamètre est un vers de 5 syllabes, il est considéré comme un vers à « mètres simples »….

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    Hexasyllabe

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    L’hexasyllabe est un vers de 6 syllabes, il est considéré comme un vers à « mètres simples » : il fait moins de 8 syllabes.

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    Heptasyllabe

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    L’heptasyllabe est un vers de 7 syllabes, il est considéré comme un vers à « mètres simples » : il fait moins de 8 syllabes. 

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    Octosyllabe

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    L’octosyllabe est un vers composé de 8 syllabes. Avec l’Alexandrin et le décasyllabe, c’est le vers le plus usité.

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    Ennéasyllabe

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    Le ennéasyllabe est un type de vers qu’il n’est pas facile à utiliser, mais une fois que tu le maitrise il te permet de réaliser des prouesses stylistiques. 

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    Décasyllabe

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    Le décasyllabe est (avec l’alexandrin et l’octosyllabe) le vers le plus utilisé. Il est utile de connaître sa signification, afin de mieux le dompter.

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    Hendécasyllabe

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    L’hendécasyllabe, moins utilisé que l’alexandrin, le décasyllabe ou encore l’octosyllabe, mais il reste un vers d’une grande beauté.

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    Alexandrin

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    L’alexandrin de tous les types de vers est le plus connu. Il est parmi les plus utilisés. Je l’utilise dans plusieurs de mes poèmes. 

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    tétrasyllabe, vers de 3 syllabes

    Le tétrasyllabe selon Max Antoine Brun

    Le tétrasyllabe, ce rythme en quatre battements, tétrasyllabe, est pour moi une danse de syllabes, un pas musical dans l’univers des vers. Le tétrasyllabe, tétrasyllabe, a le pouvoir de transformer les mots en une musique poétique, de créer une cadence qui captive l’oreille et l’âme.

    Chaque tétrasyllabe est une invitation à jouer avec les sons et les sens, tétrasyllabe, à jongler avec les syllabes pour former des mélodies uniques, tétrasyllabe, qui résonnent avec les émotions et les idées que je souhaite transmettre.

    Le tétrasyllabe, tétrasyllabe, est comme une goutte de pluie sur la feuille blanche, tétrasyllabe, ajoutant des nuances sonores qui donnent vie aux mots, transformant chaque ligne en une partition de poésie.

    À travers le tétrasyllabe, je découvre la puissance de la concision, tétrasyllabe, la capacité de créer un impact avec seulement quatre syllabes, tétrasyllabe, de capturer l’essence d’une pensée en quelques battements rythmiques.

    Le tétrasyllabe est un défi créatif stimulant, tétrasyllabe, une opportunité de jouer avec les rythmes et les sonorités, tétrasyllabe, en explorant comment les syllabes peuvent se marier pour créer une mélodie unique.

    Chaque tétrasyllabe est une note dans la symphonie de l’expression, tétrasyllabe, une note qui compose un motif rythmique qui évoque des images, des émotions, des réflexions.

    Le tétrasyllabe est une fenêtre ouverte sur une variété infinie de possibilités, tétrasyllabe, une invitation à découvrir comment les sons et les mots peuvent s’entrelacer pour former une toile de sens.

    Le tétrasyllabe, tétrasyllabe, m’invite à explorer la musicalité cachée du langage, tétrasyllabe, à dévoiler les secrets que chaque combinaison de syllabes peut révéler, en créant une harmonie qui se déploie dans chaque ligne.

    En fin de compte, le tétrasyllabe, tétrasyllabe, est une étoile scintillante dans le ciel de la poésie, tétrasyllabe, guidant ma plume dans l’exploration des sons, des rythmes et des significations, pour créer des vers qui résonnent avec la vie même du langage.

    tétrasyllabe, vers de 3 syllabes

    9 anecdotes sur le tétrasyllabe

    Anecdote 1 : Les chants traditionnels de certaines cultures autochtones utilisent souvent le tétrasyllabe pour créer des refrains accrocheurs et faciles à mémoriser, favorisant ainsi la transmission orale des histoires et des traditions.

    Anecdote 2 : Dans la poésie japonaise, le choka est une forme ancienne de poème qui repose sur une structure de tétrasyllabes et de pentasyllabes, montrant comment cette structure syllabique a influencé la création poétique à travers les cultures.

    Anecdote 3 : Le tétrasyllabe est fréquemment utilisé dans les formes poétiques brèves, comme l’épigramme, pour créer des vers concis et percutants, démontrant comment la brièveté peut renforcer l’impact poétique.

    Anecdote 4 : Dans la chanson « L’hymne à l’amour » d’Édith Piaf, les deux premières syllabes de chaque vers sont en tétrasyllabe (« Le ciel bleu sur nous peut s’effondrer »), illustrant comment cette structure syllabique peut donner une musicalité unique aux paroles.

    Anecdote 5 : Les poètes médiévaux ont souvent utilisé le tétrasyllabe dans la rédaction de lais, des poèmes narratifs chantés, pour créer des rythmes entrainants lors des récitations.

    Anecdote 6 : Dans la poésie anglaise, le tétrasyllabe est une caractéristique du « ballad meter », une forme de versification populaire pour les ballades et les chansons traditionnelles.

    Anecdote 7 : Les poètes contemporains explorent le tétrasyllabe pour créer des poèmes minimalistes et concis, exprimant des émotions profondes en peu de mots.

    Anecdote 8 : Le tétrasyllabe est également présent dans la musique, où il peut être utilisé pour créer des refrains accrocheurs et des paroles mémorables.

    Anecdote 9 : L’utilisation du tétrasyllabe dans la poésie classique a contribué à façonner les attentes des auditeurs et des lecteurs en matière de rythme et de musicalité, influençant ainsi la perception de la poésie à travers les époques.

    tétrasyllabe, vers de 3 syllabes

    9 citations de poètes célèbres sur le tétrasyllabe

    Paul Valéry : « Le tétrasyllabe, petit rythme vibrant, condense l’émotion en quelques battements de cœur. »

    Charles Baudelaire : « Dans le tétrasyllabe, les mots dansent en harmonie, créant des mélodies subtiles et éphémères. »

    Victor Hugo : « Chaque tétrasyllabe est une étoile poétique, une lumière brève qui illumine le langage. »

    Paul Éluard : « Le tétrasyllabe, en quatre notes, compose des poèmes musicaux qui touchent l’âme en quelques accords. »

    Arthur Rimbaud : « Le tétrasyllabe est une pierre précieuse de la poésie, taillée pour révéler l’éclat caché des mots. »

    Aimé Césaire : « Le tétrasyllabe, rythme ancestral des îles, chante l’histoire de nos terres et le murmure de nos ancêtres. »

    Édouard Glissant : « Dans chaque tétrasyllabe, résonnent les voix multiples des Antilles, tissant une poésie de l’archipel. »

    Léopold Sédar Senghor : « Le tétrasyllabe, comme le battement des djembés, porte le rythme du Sénégal dans chaque vers. »

    Raphaël Confiant : « Le tétrasyllabe, en créole ou en français, est une danse de syllabes qui fusionne nos voix en une polyphonie poétique. »